wonda la créature cornée bélier du pur et sur impulsive à l’affût des feintes des impostures voix prostrée au ciel à sa luxure infirmière des mots je n’évite pas les ratures vis lie délie les langues de l’écriture en dis en vois en vis des vertes et des pas mûres j’habite un karma malgré moi j’craque à l’usure du temps à toute allure j’prends la mesure l’amour fureur feu de dieu ma force mon armure j’prie pas pour croire mais bien pour être sûre claquant en coin hasard tabou censure sereine entraînée assurée coté obscur en reine j’veux donc peux repousser mes 4 murs travaillant dévoilant les dons offerts en dot par dame nature éduquée à la dure lacérée sous les coups de fouet de ceinture la poisse ça te masque en bonne couche de peinture mais ça se récure la lutte intérieure en cure pour faire virer l’augure j’t’ennuie t’as plus marrant comme occupation c’est sûr tu peux t’échapper t’as jamais manqué ça te rassure tu ne penseras jamais qu’à toi fuis va je sature j’te le souhaite pas mais pt’ être qu’un jour tout basculera pour toi t’auras plus le choix ce jour là on sera de la revoyure goutte à goutte j’écoute se claquer le temps de mes tantôts en attendant godot c’est pas une vie on a rien demandé pis on est là pourquoi chaque jour est comme un nouveau rêve que j’comprends pas pleine d’immigration j’bois un bol d’ambition la potion pour l’addition la soustraction vivre ou survivre telle est la question